ARNO ou le concert de la mort (fin)

     Arno : On était proche de la scène, sur la gauche, et si nos tympans n'ont pas
explosés, c'est un miracle. Le gars était tellement bourré qu'il tenait a peine
debout, lorsqu'il essayait d'attraper son micro il était obligé de s'y reprendre
à plusieurs fois. Il s'est même arrêté en plein milieu de chanson, a légerement
titubé et a repris sa chanson.
    On essayait de s'occuper comme on pouvait mais c'était vraiment immonde.
A la fin des 5 dernieres chansons, on croisaient les doigts en esperant que
c'était la dernière.
     Pour Kaolin et Superbus, tout le monde avait hurlé comme des malades
pour demander une autre chanson. Pour Arno, à part trois pelés qui sifflés,
personne n'en redemandait et pourtant alors que nous savourions
le calme et surtout le repos de nos oreilles, une clameur à peine audible se fit
entendre, nos poils se hérissèrent sur notre nuque, nous nous sentions comme de
faibles proies qui sentaient le plus terrible des prédateurs arrivé, et on l'aperçut,
au fond de la scène, revenant sous les feux des projecteurs en titubant plus que jamais...
Et il trouva le moyen de continuer à nous torturer. La derniere chanson était
interminable, et quand enfin elle fut fini (ou plutot quand on le crut) il s'arrêta
2 seconde et beugla dans son micro  « deuxième couplet »... -__- ...
...Il y eu 3 couplets.... A la fin, on était incapable de dire s'il chantait en français,
en anglais, en allemand... ou si c'était un mixte de plusieurs langues....

Olivia Ruiz : Arno m'avait tellement tué que j'ai passé la moitié de ses chansons
à dormir sur l'épaule de mon meilleur ami avec qui j'étais venu. Sachant que le
reste du temps il bougé trop pour que j'y arrive...

      

On ne le rappelle pas suffisament mais :
BOIRE EST NOCIF POUR LA SANTé
(des autres dans son cas)